Poupée dessinée
L'image de la solitude que j'ai vu en un mélange de couleurs
fond devant mes yeux. Habillement elle sort de sa coquille
Manipulé par l'attraction de l'idéal de liberté
Je ne peux même pas gardé l'équilibre dans mon crâne
" Quelque chose rit "
Je deviens dénaturé en perdant
Je confie ma libération à une intention emmelée
L'affection à la surface.
Détache-toi du faux semblant!
A cause de la honte qui me déchire
Je sombre dans l'angoisse, ce visage sans couleur est déformé par la vérité
" Quelque chose rit "
Je décore ces sentiments de chagrin
La nausée crie cette existance déplaisante
L'affection à la surface.
Détache-toi du faux-semblant!
Je suis incapable d'empoigner la main que tu me tends
Mes pensées se dispercent et fondent ensemble
Les jours qui se fanent et qui, comparés à ces peintures, se flétrissent et meurent
Pour toi même les rêves imprimés disparaitront
Tu es une partie du décor
En très peu de temps je commence à trembler pour quelque chose coincé dans ma gorge
Dans la lumière qui m'a été offerte, je vois uniquement les ténèbres
Ces jours qui ont manqué d'expériences sont fracassés. Sincèrement, je les porte sur mes épaules
Je suis troublé car je sais que rien ne peux me sauver
Subitement, je suis épuisé, je rêve
Bien qu'elle continue à m'enfoncer
Une erreur est complexe...
Les larmes coulent après un si long moment
Je suis incapable d'empoigner la main que tu me tends
Mes pensées se dispercent et fondent ensemble
Les jours qui se fanent et qui, comparés à ces peintures, se flétrissent et meurent
Aussi longtemps que ma voix s'écaille, elle ne pourra "plus jamais" être entendue
Toi, qui connais cette douleur, tu planteras bientôt les graines ici encore une fois
Tu espères que les fleurs qui ont changé leurs couleurs écloront un jour
Toi, qui connais cette douleur, quand tu auras versé de l'eau sur elles sans trembler
Tu as vu que les fleurs qui n'avaient pas de couleurs criaient après toi
Tu es une partie du décor